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#capitalisme

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"Ils appellent ça le libertarianisme. On doit laisser libres les maîtres, les propriétaires, ceux qui amassent l'essentiel du capital. Ils doivent être libres de détruire le monde aussi vite qu'ils le veulent. Les institutions fondamentales sont suicidaires. Le capitalisme est un arrêt de mort, c'est évident."
lareleveetlapeste.fr/noam-chom
#Politique #Capitalisme

La Relève et La Peste · Noam Chomsky : « A ce moment de l’Histoire, nous devons décider si la vie humaine peut continuer »L’un des plus grands intellectuels du XXIème siècle, Noam Chomsky, nous explique les enjeux de notre époque et comment y faire face.

Le béton de l'EPR de Penly est non-conforme :
Du capitalisme toujours à la recherche d'un profit dégueulasse + du nucléaire une technologie mortifère non maîtrisée prête à tuer et polluer pour des milliers d'années : qu'-est-ce qui pourrait mal se passer ?
⤵️
mediapart.fr/journal/france/14

#LeNucléaireCestDeLaMerde
#LeNucleaireCaPueCaTueEtCaRendsCon
#Capitalisme

Mediapart · Le béton du futur EPR de Penly n’est pas conforme aux normes de sécuritéBy Jade Lindgaard
Replied to PoLiTiPeT

Il y a partout des gens en lien avec les narcos, maintenant, même dans les instances du pouvoir. Et c’est pareil dans le monde occidental : il a toujours été corrompu, mais là, on est dans une corruption généralisée, en 2025.

RFI : L’auteur italien #RobertoSaviano parle désormais d’un « #capitalisme devenu #mafieux », par exemple.

#JeanMichelRodrigo : Oui, absolument. On a un monde occidental avec des pratiques douteuses employées, même aux États-Unis et en Europe, avec implication du trafic de drogues et d’armes.

rfi.fr/fr/am%C3%A9riques/20250

2/2

RFI · «Le Pérou du Sentier lumineux était un laboratoire de ce qu'a gagné le monde: la drogue, la corruption et la révolte»By Henrique Valadares

L'Union Européenne, prête à tout mais bonne à rien, au service du capitalisme.

#Union_Européenne
#TalibansLibéraux
#Capitalisme

Via > @MaximeCombes 🔗 piaille.fr/users/MaximeCombes/
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Fin de la mondialisation, début de la loi de la jungle ?

Quoiqu'en disent les éditorialistes, il existe une voie alternative que l'UE pourrait emprunter : la relocalisation écologique et solidaire. Mais Bruxelles préfère tenter de sauver l'ancien monde, quoiqu'il en coûte.

Ici, en Belgique, lorsque nous sommes reconnus handicapé.e.s, il existe une discrimination envers nous : on ne peut plus rien faire! Le système empêche les personnes handicapées de produire une oeuvre par exemple! Ma maladie est un enfer à vivre mais ce qui me fait tenir psychologiquement, ce sont mes nombreux projets! Et je viens d'apprendre que je serai dans les emmerdes si je réussissais à réaliser mes projets artistico-sociologiques! Je suis joie!

Je n'arrive plus à lire de la SF dystopique / post-apo parce que je n'ai plus la force de supporter à quel point tout ce qu'ils annoncent est déjà là.

L'une des voix les plus puissantes et visionnaires de la barbarie capitaliste est bien JG.Ballard dans High-Rise :

Sometimes he found it difficult not to believe that they were living in a future that had already taken place, and was now exhausted.

youtube.com/watch?v=PSNdN4gToQ

#Cinéma
#ScienceFiction
#Ballard
#Dystopie
#Capitalisme #Barbarie

🕸glané sur le net🕸 Un capitalisme en crise, prédateur et autoritaire: Le capitalisme est en crise profonde, avec des taux de croissance extrêmement faibles. C'est le support de politiques résolument antisociales, de plus en plus autoritaires et prédatrices, à l'image des premiers mois de la présidence Trump. Manifestation devant le département du Trésor. © Geoff (…)
-- Le monde aujourd'hui, Economie… europe-solidaire.org/spip.php? #Capitalisme #CriseEconomique #Manifestation #Politique #Antisocial

www.europe-solidaire.orgUn capitalisme en crise, prédateur et autoritaire - Europe Solidaire Sans Frontières Le capitalisme est en crise profonde, avec des taux de croissance extrêmement faibles. C'est le support de politiques résolument antisociales, de (…)

L’histoire des multinationales est notre histoire

Multinationales. Une histoire du monde contemporain est un livre collectif co-dirigé par Olivier Petitjean (Observatoire des multinationales) et Ivan du Roy (Basta !) paru aux éditions La Découverte en février 2025. Il propose un détour par l’histoire pour pour prendre de la hauteur et mieux comprendre les enjeux brûlants d’aujourd’hui. Nous en publions quelques bonnes feuilles.

entreleslignesentrelesmots.wor

Entre les lignes entre les mots · L’histoire des multinationales est notre histoireMultinationales. Une histoire du monde contemporain est un livre collectif co-dirigé par Olivier Petitjean (Observatoire des multinationales) et Ivan du Roy (Basta !) paru aux éditions La Découvert…

Lire l'indispensable Lordon dans @mdiplo qui à partir du cas Bétharram nous rappelle ce qu'est fondamentalement la bourgeoisie : c'est la classe de ceux qui se permettent.
Tout leur est permis.
Et ils feront tout pour que cela dure.

blog.mondediplo.net/betharram-

#Politique
#Betharram
#Bourgeoisie
#Capitalisme
#LeCapitalNeSeConnaitAucunEnnemiADroiteEtCeAussiLoinQuonAilleADroite

Le Monde diplomatique · Bétharram, force d’âmeBy Frédéric Lordon

Comment articuler les articulations structurelles globales du capitalisme et leurs traductions à l’échelle de la vie quotidienne (le capitalisme intime) ?

En adoptant la perspective du consommateur individuel, il paraît relativement facile de montrer comment la vie quotidienne dépend des échanges sur le marché global. On peut, à partir de n’importe quel objet* du quotidien, retracer, au moins en partie, mais de manière suffisamment suggestive, la généalogie (extraction, production, diffusion) qui aboutit à la consommation in fine, ou la livraison « just in time » – ce qu’on peut appeler en radicalisant le concept : the « supply chain » (la chaîne d’approvisionnement).

Notons tout de même que cette reconstitution de la “biographie” des objets, qui consiste une succession de transformation matérielles, ne peut être, comme je le suggérais, que partielle. Pour être en mesure de dresser la carte détaillée et exhaustive du travail (au sens des métamorphoses matérielles) qui ont abouti à cet objet-là qui “arrive” dans notre environnement quotidien, il faudrait disposer d’une vision quasi-divine. Les ramifications généalogiques des métamorphoses des objets se perdent à un moment ou à un autre dans l’obscurité (bien souvent des marchés ou des unités de production qui relèvent de l’économie informelle, voire de transactions illégales, de vols, de spoliations, d’extraction qui se déroulent « sous les radars »). Les étiquettes censées renseigner sur la “provenance” des objets dans les rayons des supermarchés ne divulguent que des informations superficielles. Elles ne disent rien par exemple des systèmes d’exploitation des travailleurs et travailleuses à différents endroits de la chaîne d’extraction, de production ou de la militarisation des couloirs de transport. Et des impacts environnementaux réels et des effets toxiques à court, moyen et long terme que subiront des êtres vivants fort éloignés géographiquement, la plupart du temps, des consommateurs finaux.

Se pose ici un problème majeur : il est impossible d’universaliser l’expérience du consommateur – pour le dire autrement, la multiplicité des conditions historiques et géographiques particulières rendent suspectes d’emblée toute référence à un « consommateur lambda universel », celui qu’on évoque paresseusement par un « nous » (inévitablement ethnocentré). Pas seulement parce que les capacités de consommation varient de manière dramatique d’un groupe humain à un autre (des plus riches aux plus pauvres), mais aussi parce que leur position respective dans la structure de la chaîne d’approvisionnement diffère de manière tout aussi spectaculaire : la prospérité des uns repose sur l’exploitation des autres. Le confort du consommateur aisé dépend de l’extraction violente des forces vitales des subalternes (Marx parlait de « siphonner » la force vitale des travailleurs – la dimension vampirique du capitalisme. On pense au livre récent de Nancy Fraser : Cannibal Capitalism: How Our System Is Devouring Democracy, Care, and the Planet—and What We Can Do About It). Cette dépendance doit être comprise non pas comme une fatalité regrettable (qui serait à mettre au compte de la “naturalité” des inégalités), mais bien comme une relation de causalité. Des populations **doivent** être exploitées et leurs environnements intoxiqués pour qu’à l’autre bout de la chaîne d’approvisionnement, les consommateurs puissent jouir d’une multitude d’objets (livrés just-in-time et disponibles à des prix extraordinairement bas). Ce système de production des inégalités est consubstantiel à celui de production des marchandises, et il ne peut fonctionner en l’état (de manière globale ou planétaire) que dans une économie capitaliste – dans laquelle le capitaliste extrait au fur et à mesure de la chaîne d’approvisionnement de la survaleur. L’économie mondiale, arrimée depuis au moins deux siècles, si ce n’est plus, à l’exploitation coloniale et néocoloniale (selon une structure raciale et genrée), se déploie pour un monde de consommateurs blancs aisés vivant dans les pays les plus riches. la finalité du système économique du capitalisme global vise à garantir et renforcer leur prospérité.

La fiction d’un consommateur moyen entouré d’objets dont on suppose qu’ils sont présents dans l’expérience quotidienne de la plupart des habitants de la terre, ne résiste donc guère à l’épreuve des conditions réelles historiques et géographiques. Cette difficulté fait penser à celle que pose la fiction de voile d’ignorance de John Rawls.

C’est ce qui rend l’article ci-dessous à la fois si intéressant, et si “naïf” (et tout aussi horripilant). 😂
(Vous pouvez boycotter autant que vous voudrez les produits “américains”, ce qui, comme l’explique l’auteur, n’est pas une mince affaire, vous ne gagnerez pas grand chose, en tant que consommateur, en terme d’éthique ou de morale, ou du point de vue de la justice 😅

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