"Soucieux pour l’un de ses fils alors scolarisé à #Bétharram, #FrançoisBayrou, qui présidait alors le conseil général (chargé de la protection de l’enfance), ne semblait pas concerné par les autres élèves, d’après le souvenir du magistrat. « Il ne m’a parlé que de son fils, il n’arrivait pas à croire à la réalité de ces faits. Il répétait, je m’en souviens bien : “c’est incroyable, c’est incroyable” », a rapporté Christian Mirande."